il était une fois, un oeuf...
Bon Ok, je suis fascinée par les œufs... mais faut dire qu'un œuf, c'est génial! Déjà on ne sait pas s'il était là avant la poule ou après, et en plus il a une forme parfaite. Ovale. Un cocon. C'est l'infini, le début, la naissance. Et en plus, c'est trop bon. Le vrai œuf bien sûr, de la poule élevé en plein air et qui a gambadé sur ses petites papattes et pas de la pauvre poule qui vit sur la tête de ses congénères, enfermée dans le noir, stressée au maximum. Tu m'étonnes qu'elles fassent la grève après les poules !! (cf. "Les poules" pour ceux qui ont lu ce post). Non, pour bien déguster son œuf, qu'on peut cuisiner de mille manières... œuf au plat... œuf cocotte... œuf à la coque... œufs brouillés... omelette... œuf poché... œuf mimosa... œuf dur... œuf mollet... œuf de cent ans... huevos rancheros... et j'en passe, donc disais-je, pour bien déguster son œuf, il vaut mieux le prendre bio tant qu'à faire. C'est-à-dire qu'il faut que le premier chiffre marqué sur l'oeuf soit le 0, tout ovale comme l'œuf !!
Ma fascination pour les œufs m'a poussé à écrire l'histoire de Grand Jacques qui aime tout particulièrement les œufs... à lire prochainement... en attendant, je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager cette création super rigolote et toute symbolique qu'on m'a envoyé...
Bon, c'est pas tout ça, mais moi, ça m'a donné faim, je vais me faire des pâtes à la carbonara, les vraies, avec le jaune d'oeuf qui sert de liant, et pas la crème fraîche...